Invité exceptionnel de Génération After sur RMC ce mercredi, Samir Nasri s’est confié sur l’OM et sa volonté de revenir au club un jour. Et l’ancien international tricolore de confier que cela ne serait pas pour occuper n’importe quelle fonction, sinon celle d’entraîneur de l’Olympique de Marseille.
« Petit prince » du Vélodrome ayant refusé « la proposition interdite » vers le PSG à l’été 2011, Samir Nasri a toujours l’OM chevillé au coeur et au corps. Celui qui est né dans la cité phocéenne n’a rien perdu de son amour pour l’Olympique de Marseille, comme il l’a confié ce mercredi dans Génération After sur RMC.
Nasri rêve du banc de l’OM… un jour
Invité exceptionnel, l’ancien international français (41 sélections) s’est confié sur « son rêve absolu » au micro et, naturellement, cela concerne un poste à haute responsabilité du côté du club olympien.
« Mon rêve absolu ce serait un jour d’être sur le banc de l’Olympique de Marseille, mais je sais aussi que peut-être à ce moment-là, même si actuellement je n’ai pas de problème au niveau des cheveux, j’aurais peut-être une calvitie qui va commencer par arriver parce que l’engouement et la pression, c’est beaucoup à Marseille! Cela me donne quand même envie, oui. C’est comme ça, c’est Marseille, c’est les excès, que ce soit dans le positif ou dans le négatif, c’est toujours comme ça. »
« Si tu n’as pas un entraîneur volcanique qui a le tempérament pour Marseille, il ne sera pas accepté par les supporters »
À la question de savoir si cette passion dévorante qui entoure l’OM y compris jusque dans le board du club ou sur le banc de touche gagnerait à être plus modérée – en prenant l’exemple de l’ancienne présidence de Pape Diouf – Samir Nasri défend pourtant la nécessité de garder un certain tempérament lorsqu’on évolue au sein du club marseillais.
« Si tu n’as pas un entraîneur volcanique et qui a le tempérament pour Marseille, il ne sera pas accepté par les supporters. Si on regarde ces dernières années les entraîneurs qui ont eu du succès auprès du public, c’est Marcelo Bielsa, qui est complètement décalé, Jorge Sampaoli, Igor Tudor et aujourd’hui Roberto De Zerbi qui a apporté quelque chose. »