Si le Real Madrid lui avait fait comprendre qu’il devait penser à voir ailleurs, Rodrygo a repris l’entraînement avec le club merengue cette semaine et n’a pour l’instant pas d’offres à la hauteur de ses attentes. Par défaut, il pourrait rester à Madrid, alors que Florentino Perez cherche à le vendre.
Un problème de riche. Après avoir passé plusieurs mois à trouver un équilibre en attaque avec l’arrivée de Kylian Mbappé, il semblerait que le Real Madrid a tranché: Rodrygo est le joueur du trio offensif qui doit partir. Sauf que l’ailier brésilien était bien présent cette semaine lors de la reprise de l’entraînement du club merengue et qu’il n’a pour l’instant par d’offres à la hauteur de ses attentes.
L’ailier gauche, qui n’a été titulaire qu’à un seul match lors de la Coupe du monde des clubs en l’absence de Mbappé, ne devrait pas joueur beaucoup plus de minutes lors de cette saison 2025-26 assure Mundo Deportivo. Mais Rodrygo, sous contrat avec le Real jusqu’en 2028, ne serait pas presser de quitter le club, peinant à trouver un club aussi compétitif et pouvant lui proposer un salaire conséquent.
Tottenham suit Rodrygo
Rodrygo n’excluerait donc pas de rester s’il ne trouve rien d’intéressant, ce qui ne plairait pas beaucoup à Florentino Pérez qui, avec son comité directeur, espère régler la situation au plus vite et profiter des prochains jours pour accélérer l’opération.
Selon Marca, c’est Tottenham qui a manifesté son intérêt pour Rodrygo, le club qui, ces dernières semaines, s’est montré le plus intéressé par le Brésilien. Le départ de Heun-Min Son, ailier gauche (le poste où le Brésilien souhaite jouer), a incité les Londoniens à demander quel serait le prix auquel le Real Madrid donnerait son feu vert à l’opération.
La Casa Blanca a évalué l’attaquant à 100 millions d’euros, un montant que les Spurs n’ont jamais atteint dans toute leur histoire, leur transfert le plus cher ayant été celui de Dominic Solanke la saison dernière, pour 64 millions d’euros. Cette saison, ils ont déjà recruté un ailier, Mohamed Kudus, qui leur a coûté 63 millions d’euros.