Leonardo Balerdi a été prolongé ce vendredi jusqu’en 2028 par l’OM. En conférence de presse, le défenseur argentin a expliqué le rôle joué par son entraîneur Roberto De Zerbi , qui l’a « aidé » à prendre sa décision.
Voilà une bonne nouvelle pour les supporteurs de l’OM. Ce vendredi, le club phocéen a officialisé la prolongation pour deux saisons de Leonardo Balerdi, désormais lié à Marseille jusqu’en 2028. Arrivé sous la forme d’un prêt en 2020 en provenance du Borussia Dortmund, l’Argentin s’est progressivement imposé comme un cadre.
En conférence de presse ce vendredi, à la veille d’un déplacement à Brest en Ligue 1 pour le compte de la première journée, Leonardo Balerdi a partagé sa joie: « Je veux remercier le club. Je suis trop content. C’est quelque chose que je recherchais depuis longtemps. Maintenant, je dois encore confirmer. »
Parfois décrié à ses débuts, Balerdi a su renverser la situation pour devenir un joueur très apprécié et reconnu pour sa valeur sportive. « Pour moi, l’OM est un club spécial », a ajouté celui qui a déjà porté à 135 reprises le maillot marseillais. « Je suis arrivé ici très jeune, j’ai grandi. Je suis heureux de la personne et du joueur que je suis et c’est grâce au club, à cette ville et aux dirigeants. »
De Zerbi se félicite de cette prolongation
Nommé sur le banc de touche, Roberto De Zerbi pourra donc compter sur le défenseur cette saison. « C’est une nouvelle importante pour le club comme pour moi », a indiqué de son côté le technicien italien. « On essaye de construire un OM pour cette année mais aussi pour le futur. J’aimerais rester longtemps ici et pour cela il faut construire un futur avec de jeunes joueurs et je pense que Leo en fait partie. »
Plus tôt face aux médias, Leonardo Balerdi confirmait que Roberto De Zerbi avait joué un rôle dans sa prolongation. « L’arrivée de De Zerbi m’a aidé. Il m’a écrit depuis le premier jour ici », a confié le joueur de 25 ans. « Personnellement, je veux confirmer la saison que j’ai fait l’année dernière. J’ai beaucoup travaillé pour ce moment, même quand c’était difficile. Je n’ai jamais pensé à lâcher et partir. »