« On a besoin d’un stade prêt dans 3-4 ans », Al-Khelaïfi réaffirme la volonté du club de quitter le Parc

A l’occasion d’une émission exceptionnelle ce jeudi de Rothen s’enflamme, sur RMC, au Campus PSG, Nasser Al-Khelaïfi a réaffirmé que le club parisien allait quitter le Parc des Princes et qu’il souhaitait avoir un nouveau stade dans « 3-4 ans ». Un enjeu important puisque l’avenir du club serait menacé si ça n’était pas le cas, selon son président.

Dans l’After Foot sur RMC, Daniel Riolo a assuré que cette question de la pérennité du PSG n’était pas en jeu et que la réussite d’un grand stade n’était pas garantie pour le club parisien: « Ce qu’il dit est évidemment faux, ce n’est pas une question de vie ou de mort (pour le PSG). S’ils ont planté les droits télé, c’est de leur faute à eux tous. Quand il dit vie ou de mort, en gros il lui faut de l’entrée d’argent par le ticketing (la billetterie) et par ce que peut apporter un grand stade. S’il s’est embrouillé avec la mairie de Paris, c’est lui. Il y avait un plan pour faire des travaux (au Parc des Princes), il existe encore. Et surtout, surtout, surtout, il va se brouiller définitivement avec une base (de supporters du PSG). Quand tu te brouilles avec une base, pour aller reconstruire une autre base et viser 60 ou 70.000 personnes dans un stade, dans les matchs de Ligue des champions… Comment tu vas le remplir ton stade que tu vas aller construire à 20-30 bornes de Paris, où tu n’as pas encore le terrain, tu n’as pas encore les routes, tu n’as pas encore les transports pour y aller? Si tu ne changes pas de politique, puisque tu as dit désormais que tu veux une politique profil bas. En fait, il n’y a rien qui va dans ce qu’il dit.

En 2026, politiquement les portes peuvent s’ouvrir. Donc ça ne sert à rien d’aller mettre un pressing de malade puisque a priori Anne Hidalgo va passer la main.

Les travaux, le nouveau stade, les routes pour y aller, les transports… rien ne dit que tu remplis le grand stade. Il y a une base de gens qui n’iront plus, qui sont déjà en ras-le-bol de la politique du Qatar, en ras-le-bol de Nasser Al-Khelaïfi. Ce n’est pas parce qu’il fait la pluie et le beau temps dans le football français en contrôlant tous les présidents de Ligue 1 qu’il va remplir un stade de 80.000 places surtout avec une politique profil bas sans vedettes. Donc tout ça n’a aucun sens. »

Marquinhos, Nasser Al-Khelaïfi, Pedro Miguel Pauleta ou encore Javier Pastore ont répondu aux questions de Jérôme Rothen, Emmanuel Petit et Jean-Louis Tourre.

« Ce Campus, c’est une autre dimension. Je suis content notamment pour les jeunes. Ils ont tout, ils ont juste à penser au foot et à travailler à l’école. Un joueur réussit aussi s’il est intelligent, s’il pense avec sa tête. Le club a fait un saut incroyable en termes de qualité. Les joueurs vont parler de ce Campus. Des joueurs de l’étranger vont vouloir venir jouer ici. »

« J’apprécie beaucoup ce joueur, j’espère qu’il va marquer beaucoup de buts. C’est un joueur de grande qualité. Il a eu une blessure. Mais il va revenir et marquer des buts, il a le sens du but, il travaille pour l’équipe, c’est un vrai buteur. »

Pauleta: « J’ai connu le Camp des Loges, ça n’a rien à voir. On est dans un Campus magnifique, je suis content. Paris méritait ça. Il faut ça pour continuer de grandir. Ca fait partie des meilleurs centres au monde. C’est une journée importante pour le club. On attend toujours beaucoup de ce club. »

« On peut se tromper, on ne peut pas tout faire parfaitement. On a besoin des critiques. On se regarde dans le miroir. Si vous me critiquez pour qu’on soit meilleurs, j’écoute. C’est le foot. Mais aujourd’hui, notre stratégie est au long terme. On a une jeune équipe, on n’est pas pressés, on a confiance en Luis Enrique, son style. »

« Ce n’est pas un objectif. Mais je veux dire une chose, on joue chaque match pour le gagner. Mais ce n’est pas l’objectif de mettre cette pression. On a une jeune équipe. On a le besoin d’être réalistes. On n’a pas eu de chance non plus avec le tirage au sort. Mais c’est le foot. »

« Copier le Barça ? Pour moi, on ne veut copier personne. On prend notre identité. C’est l’identité du PSG, elle vient des jeunes. Regardez les terrains de nos jeunes. Les jeunes savent comment joue l’équipe une. »

« On a des joueurs d’expérience, et des jeunes aussi. L’objectif n’est pas de gagner la Ligue des champions cette année, mais d’avoir notre style. »

« Honnêtement, aujourd’hui, non. Mais je ne sais pas ce qui se passera s’il y a des opportunités. On parle avec le coach. Mais aujourd’hui, non. On a confiance en nos joueurs. On n’est pas pressés. »

« La Ligue 1, un frein pour le développement des jeunes ? Je ne pense pas. Regardez les clubs français en Europe cette saison. Les clubs français ont le niveau. On a l’image d’une ligue faible, mais ce n’est pas vrai. Zlatan me l’a dit, c’est difficile de marquer ici. »

Luis Enrique restera-t-il même en cas de non qualification pour le prochain tour de la Ligue des champions ?

« On ne changera rien. Je l’ai dit, on a beaucoup confiance en notre coach. Il fait du très bon travail avec Luis Campos. Est-ce qu’ils vont prolonger ? J’ai confiance. »

« Je suis très fier de mon équipe, on joue au foot, on a une identité, on joue offensif. Ca prend du temps, on n’est pas pressés. Je parle avec le coach et Luis Campos, on est contents de notre stratégie. Si on perd, on ne change rien. Regardez notre équipe, elle est jeune, a besoin d’expérience. Les jeunes en ont besoin. Ils doivent prendre de l’expérience. On a des jeunes de 18-19 ans. »

« La question du stade ? J’aime beaucoup le Parc, tout le monde l’aime. Si j’écoute mon coeur, on ne part pas. Mais tout le monde en Europe a des stades de 80000, 90000 places… On en a besoin, sinon on est morts. Une question de vie ou de mort ? Oui. On est en France, mais aussi en Europe. La ville ne nous laisse pas le choix. »

« Je ne fais pas de politique. Pour nous, on a besoin d’un stade prêt dans 3-4 ans, on n’a pas de temps à perdre, sinon on est derrière d’autres clubs en Europe. On a besoin de construire le plus vite. »

« La suite ? On a quelques options. On a besoin de construire le nouveau stade le plus vite pour être au niveau où on veut. »

« Le Campus ? Regardez la CDM 2022 au Qatar, la majorité des joueurs venaient de Paris, on a les meilleurs talents ici. Notre meilleur investissement, c’est ça, le centre d’entraînement. On veut continuer à trouver le meilleur talent à Paris. On veut vraiment constuire une équipe qui vient de Paris. On a aujourd’hui le plus jeune effectif en Europe. C’est notre vision avec ce centre d’entraînement, on veut construire une équipe pour le futur. Le coach croit vraiment dans nos jeunes. »

« C’est le capitaine de l’équipe, il est vraiment très important, c’est l’un des meilleurs défenseurs au monde. Il a joué plus de 400 matchs avec nous. Je me souviens de son arrivée ici. J’avais dit à Leonardo de le signer. »

« J’espère rester encore 10 ans, ça me va ! C’est toujours un plaisir d’être à Paris. »

« Bienvenue au Campus ! C’est une grande fierté pour nous. C’est une journée historique pour le club, la ville de Paris, pour la France. Notre premier jour ici, j’ai dit: ‘Pourquoi ne pas avoir le meilleur centre d’entraînement au monde?’ J’ai visité plusieurs centres dans le monde pour prendre des idées et construire quelque chose de spécial. On croit aux talents parisiens. »

Sakina Karchaoui: « On a des infrastructures incroyables, on a de la chance, tout le monde n’a pas ça, il faut en profiter, pousser toutes les générations. On va souvent voir l’équipe masculine jouer. On est toute une famille. On peut aussi voir les plus jeunes. Ce sont des bons moments à partager ensemble. »

Jade Le Guilly: « Je suis arrivée au club à mes 12 ans, j’ai fait toutes les catégories jusqu’au niveau pro. J’ai connu plusieurs centres. Il y a une énorme différence entre Bougival et le Campus. »

« Dans notre équipe il y a beaucoup de joueurs expérimentés. On le voit dans le vestiaire, en match. Je ne me sens pas trop seul. Peut-être qu’il n’y a pas un grand nom dans l’équipe mais il y a beaucoup de leaders, des joueurs qui prennent leurs responsabilités. On se sent un groupe soudé, un groupe fort. On va se battre pour tous nos objectifs. »

« Gagner la Ligue des champions ? On va essayer tous les ans. Il faut y croire. C’est le terrain qui parle. On a vu comment c’est très difficile, une saison est longue, cette compétition est exigeante. Le PSG est dans le bon chemin pour aller le plus loin et aller combattre avec les grands. Dès cette année ? Mes coéquipiers sont pour moi toujours les meilleurs au monde. Mon club est toujours le meilleur au monde. On peut faire de belles choses. Il faut regarder la vérité, on est en difficulté au classement. Il faut penser au prochain match. »

« Plus d’exigence au quotidien ? Oui, déjà ça passe par notre président, notre coach aussi, au quotidien. Il nous dit que tous les clubs n’ont pas ce qu’on a. »

« Une pression supplémentaire ? Pour être un joueur du PSG, il faut mettre la barre très haut, avoir une mentalité de gagnant et de combattant. Ca vient avec un beau Campus, on est dans les meilleures conditions. J’ai été formé aux Corinthians, dès tout petit j’ai mis la barre très haut. »

Marquinhos, capitaine du PSG: « Ca motive. C’est comme une famille, on se sent à la maison ici. Quand on vient d’en bas, au Brésil, quand on a bataillé, être là c’est exceptionnel. »

Marquinhos, capitaine du PSG: « Le Campus est incroyable, on se souvient d’où on vient, on voit le développement du club, l’ambition du club augmente de plus en plus. C’est un honneur. J’ai vu le projet quand je suis arrivé. Quand on le voit maintenant, c’est quelque chose d’incroyable, ça brille. On est dans les meilleures conditions. »

« Deux-trois ans après mon arrivée, on nous a parlé des plans (pour le nouveau centre d’entraînement). Ca fait plaisir de vivre ça aujourd’hui. »

« La concurrence du Paris FC ? Ca permet d’avancer, de ne pas s’endormir, de toujours chercher à innover. »

« La région parisienne regorge de talents. On a le challenge de recruter les jeunes tôt. Il faut continuer à rester humbles. »

« L’objectif est de former des joueurs. Pour faciliter le travail de l’entraîneur de l’équipe première, l’idée est de former des joueurs comme lui aime pour les intégrer dans son projet de jeu. Il y a une vraie proximité entre l’équipe première et le centre de formation. »

« Copier le Barça ? J’entends la comparaison, mais on parle d’un club qui a plus de 100 ans… L’idée de commencer à avoir un alignement dans le travail est bien présente. »

« Il y a toute une vision large et globale de la vie au centre. En tant que directeur (du centre de formation et de pré-formation du PSG), des responsabilités un peu plus larges qu’avant. Un mot ressort : l’exigence. C’est ce qui nous permet de toujours avancer pour progresser. L’objectif est de former des joueurs pour notre équipe première, pour le foot international en général. »

Yohan Cabaye, ancien joueur du club de la capitale (2014-2015), et actuel directeur du centre de formation et de pré-formation du PSG, répondra aux questions de Jérôme Rothen dans quelques instants.

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« Je crois beaucoup en G.Ramos, je suis persuadé que les prochains choix de Luis Enrique seront souvent tournés avec lui. Attention, il y a aussi eu des très bons matchs avec des faux 9, mais Ramos a été pris pour mettre des buts. Je compte sur Ramos pour changer la physionomie des matchs du PSG. C’était compliqué la saison dernière de donner du temps de jeu à un vrai 9 en raison de la présence de Kylian Mbappé. »

Petit: « Ils sont en avance sur pas mal de choses, sur plusieurs aspects. Quand j’ai signé à Chelsea, à l’époque, le camp d’entraînement était à des années lumières de ce qu’on voit aujourd’hui à Paris. »

Rothen: « Il n’y a plus d’excuse, l’exigence est à tous les niveaux. Les joueurs ont tout pour bien se préparer. Moi j’ai connu le Camp des Loges, on faisait des bains à glace dans des poubelles… Là, tout est à disposition, il n’y avait pas ça à notre époque. Les gens critiquent beaucoup les Qataris, alors qu’on voit qu’ils sont très attachés au PSG. Ça se voit encore à travers cet investissement. Ils sont attachés à Paris et au PSG. Il faut quand même dire merci aux Qataris. »

« Il y a tout à la perfection, tout est réfléchi pour l’effectif pro, les jeunes, les féminines. C’est un vrai village. L’état des terrains est incroyable. Pour l’effectif pro, tout est sur place. Ils sont chez eux. »

Ce jeudi, place à un Rothen s’enflamme exceptionnel en direct du centre d’entraînement du PSG ! Jérôme Rothen et toute sa bande seront en direct du lieu de vie du PSG, avec notamment le président Nasser Al-Khelaïfi en invité. Emission immanquable à 18h !

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Le PSG reçoit le Toulouse FC à partir de 21 heures demain soir.

« Chaque fois qu’on affronte un adversaire, ils sont dans leur meilleur enchaînement. Je connais Toulouse parce qu’on a affronté le TFC de Martinez Novell. Quand ils ont la balle, c’est difficile de leur enlever. Ils nous ont battu au Parc des Princes dans un match spécial. Je m’attends à un match difficile. Nous allons essayer d’être à un bon niveau ».

« Je ne sais pas si c’est le premier, le deuxième, le troisième ou le millième (dans la hiérarchie à son poste). Cela ne m’intéresse pas beaucoup. Mon idée correspond complètement à ses caractéristiques. Il est vrai qu’il gagne en envergure dans le vestiaire. (…) Il y a toujours un risque (de trop jouer). On essaie de donner du repos. Mais Hakimi a une capacité physique spectaculaire ».

« Doué, il ne faut penser qu’à une chose: il a 19 ans. Il a déjà joué à Rennes de façon spectaculaire. Il nous aide depuis le début à beaucoup de postes. Il est possible que son poste idéal ce soit au milieu, pas en attaque. J’essaie de réveiller chez Doué sa polyvalence. C’est très positif pour un jeune joueur d’avoir cette capacité technique et physique, mais aussi d’avoir un savoir tactique pour jouer à différents postes. C’est un processus, c’est un chemin. Il a 19 ans, il joue beaucoup de minutes. C’est un joueur très intéressant, de présent, mais aussi de futur ».

« Je n’ai pas vraiment d’avis sur ça. Le marché est libre, tout le monde a le choix pour les coachs. Il y a de très bons entraîneurs français, tout comme des Espagnols, Italiens, Anglais et Allemands ».

« Ramos est un peu le profil de Kolo Muani, un finisseur. Des joueurs qui vont donner de la continuité, mais leur préférence c’est d’évoluer dans la surface. Ils ont un bon niveau défensif. C’est pour cela qu’on l’a signé ».

« Cela me paraît fascinant. Si c’est à Paris et que nous avons un voyage en moins et que c’est près de nous, c’est parfait. Je suis enchanté ».

« Ce n’était pas très grave. Un petit problème aux ischios, je crois. C’est normal que tout au long de la saison, avec ce calendrier serré, qu’il y ait ce genre de situations ».

« Dans cet effectif, depuis le début de la saison, ce que j’aime le plus c’est la versatilité. Plusieurs joueurs peuvent évoluer à beaucoup de postes. C’est difficile pour l’adversaire de savoir où vont évoluer les joueurs. (…) J’espère qu’on aura deux très bon joueurs par poste. La concurrence suivra, le club en bénéficiera ».

« Mon obssession est d’attaquer. Avoir la balle, c’est ma philosophie depuis toujours. Mais le mérite est de réussir que des joueurs de très bonne qualité sachent défendre. Le faire en tant qu’équipe et pas seulement individuel, c’est prioritaire. Il faut tout travailler, tout améliorer en permanence ».

« J’ai été sélectionneur. Je sais le temps qu’un sélectionneur a pour transmettre une idée. C’est très difficile. Il faut être très bon pour transmettre une idée en équipe nationale. La seule préoccupation comme entraîneur, c’est que les joueurs sont très fatigués, qu’ils ont voyagé, qu’ils ont joué avec une charge de minutes assez importante. Le premier message que je donne à mon équipe, c’est de se reconnecter au club. S’ils se frottent à d’autres méthodes d’entraîneur, c’est la vie d’un footballeur. Il faut s’adapter aux coachs ».

« Je compte sur tous les joueurs. Jusqu’à preuve du contraire ».

« C’est un processus normal dans une équipe. Quand vous jouez, vous êtes content, quand vous jouez moins, vous êtes moins content, quand vous ne jouez pas du tout, vous n’êtes pas du tout content. Si je vois des choses à l’entraînement, la situation peut changer ».

« Non ce n’est pas grave. S’il sera prêt pour le Bayern? Je ne le sais pas ».

« Cette journée après la trêve est toujours spéciale. Il ne faut pas que prendre en compte le match contre Toulouse, mais aussi la charge de minutes en sélection nationale ».

« Il est dans la période finale de son rétablissement. Quand sera-t-il disponible? Je ne sais pas, je le verrai à l’entraînement. Il est très bien déjà. Il n’y a plus qu’à affiner pour qu’il puisse participer (aux matchs). Pareil pour Kimpembe et Hernandez ».

En conférence de presse: « Premièrement, cela représente tout ce qu’un club peut vouloir. Tout est parfait pour que l’équipe puisse s’améliorer. Et préparer la saison de façon optimale ».

Sur PSGTV: « C’est une merveille. Les installations, les conditions, le style… Tout est fait pour que le joueur soit à l’aise ».

Sur PSGTV: « On a besoin de changer la mentalité rapidement, quand on revient d’objectifs avec la sélection. On veut continuer avec les bons résultats en championnat ».

Le PSG a confirmé ce jeudi les participations de Presnel Kimpembe et Gonçalo Ramos à l’entraînement collectif. A la veille de la réception de Toulouse en L1, le club francilien a vu plusieurs joueurs manquer à l’appel.

Touché à la cheville en sélection, Nuno Mendes reste en soins alors que Lucas Hernandez est victime d’un syndrome viral.

Blessé à un mollet pendant le match de l’équipe de France U20, Senny Mayulu sera absent des séances en groupe pour plusieurs semaines.

Le Paris Saint-Germain a officiellement inauguré le Campus PSG ce jeudi à Poissy. Si les joueurs franciliens occupent déjà les lieux depuis l’été 2023, le club franchit une nouvelle étape de son développement avec un centre de formation et d’entraînement ultramoderne.

>> RMC Sport fait les présentations de ces infrastructures d’exception au Campus PSG

Victoriano Melero, directeur général du PSG, a rappelé les engagements forts du club envers les jeunes, ce jeudi lors de l’inauguration du Campus PSG. « Au club on a une obligation, fournir un cadre éducatif aux jeunes. On a fait plus de 95% de réussite au bac cette année. »

Il a également développé les prochains objectifs du PSG sur le centre d’entraînement. « Sur les évolutions à venir, le focus va être sur le football féminin. D’avoir des jeunes filles à la formation et des joueurs professionnels dans le même bâtiment. On va faire une extension de tribune sur le terrain des féminines. » (AP)

Le PSG recevra Toulouse vendredi soir, dans le cadre de la 12e journée de Ligue 1. Ce jeudi, tradition oblige, Luis Enrique se présentera en conférence de presse pour évoquer l’état de forme de son groupe, qui se rendra à Munich pour y affronter le Bayern mardi prochain en Ligue des champions.